Frapper à la fenêtre numérique de ses voisins

Groupes Facebook et autres réseaux sociaux de proximité permettent aux personnes qui vivent dans un même quartier ou une même ville sans se connaître d’ouvrir leur porte et parfois aussi de tendre leur main.
Le confinement dû à la pandémie de coronavirus a mis un coup d’accélérateur aux réseaux sociaux de proximité, devenus des relais précieux d’actions solidaires. La startup nantaise Allovoisins, qui compte trois millions de membres, s’est distinguée en renonçant à toucher ses habituelles commissions liées aux échanges de services entre voisin·es pendant toute la durée de la crise sanitaire. Garde d’enfants, livraison de courses, promenade du chien dont le maître est alité, achat de médicaments pour une personne malade ou démarches administratives figurent parmi les services recherchés sur la plateforme, dont le trafic est en hausse de plus de 50 % moins d’une semaine après l’annonce du confinement, selon le quotidien régional Ouest France.
Oups ! La suite de cet article est réservé aux abonné·es
Abonnez-vous pour nous découvrir, nous lire, nous soutenir !
Au numéro
14 €Par trimestreAbonnez-vous sans engagement à Chut!, le magazine de la culture numérique.
L'abonnement comprend :
- 1 numéro par trimestre
- Résiliable à tout moment
- L'accès à la version en ligne
C! Mag
48 €Au lieu de 56 €Abonnez-vous à l'année à Chut! Magazine, le trimestriel papier de la culture numérique
L'abonnement comprend :
- 4 numéros Chut! Magazine par an
- L'accès à la version en ligne
- 48€ au lieu de 56€
Edito
170 €Par an- La participation à 4 conférences de rédaction par an
- 4 magazines par an
- L'accès à la version en ligne
J’ai déjà un abo
Abonnement collectivité, contactez-nous !
Ça vous plaira aussi
- Interview Partenaire
Luce Brotcorne : « Le lien entre le théorique et le concret est une richesse »
- Mobilités, nouveaux essais
Aurélien Bigo : « Partager un véhicule à plusieurs limite leur nombre en circulation »
- Mobilité, nouveaux essais
En zone rurale, la voiture partagée cherche sa place
- Tribune Partenaire
Abir Tarhini : « Il faut apprendre aux filles à oser »