Slack. Demain, j’arrête.

À entendre Guillaume Gombert, l’un des créateurs de l’étude indépendante de Fabernovel sur Slack, la solution logicielle pourrait bien être sur le point de « manger les organisations » d’un côté, tandis qu’elle titille d’un autre côté Microsoft sur ses plates-bandes. Avec ses 10 millions d’utilisateurs quotidien, Slack serait un peu le new cool de l’entreprise. Mais voilà, il y a aussi un revers à cette belle médaille. L’addiction et la déshumanisation de la communication. On s’en parle ?
Slack, the place to be ?
Slack, ce chat BtoB coloré, peut se vanter d’avoir 10 millions d’utilisateurs quotidiens, dont 3,7 millions d’utilisateurs payants. Depuis sa création en 2013, l’entreprise ne connaît pas la crise. Devenue licorne en 8 mois — un temps record — ayant levé au cours de ses 11 levées de fonds un total de 1,2 milliard de dollars et étant valorisée à 7,1 milliards de dollars, on peut dire que la vie est belle pour la société californienne qui préparerait en ce moment son introduction en bourse (IPO pour les pros). Ce qui devait être un simple chat de jeu-vidéo s’est transformé en véritable nouvelle béquille organisationnelle.
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