BlackLivesMatters, MeToo. Dans le mouvement social, la partie numérique du combat semble être devenue incontournable. Au jour où nous écrivons ces lignes, Instagram recense plus de 21 millions de publications avec le hashtag #blacklivesmatter, qui revient aussi régulièrement en » trending topics » sur Twitter. Le numérique fait partie intégrante de nos vies, et de façon logique, de l’activisme. « C’est comme si l’on demandait il y a plusieurs décennies en arrière d’imaginer un mouvement politique ou social sans téléphone ou sans papier. Évidemment, c’est difficilement concevable, tant nous utilisons ces outils au quotidien. Une chose est sûre : les réseaux sociaux rendent les mobilisations plus efficaces et permettent de fédérer. Si l’on regarde le mouvement autour d’Adama Traoré, le numérique a permis de rassembler et mobiliser un grand nombre de personnes, en seulement quelques jours, pour des manifestations physiques », pointe Jen Schradie, sociologue spécialiste de l’activisme social et de la démocratie digitale, enseignant à Sciences Po. Facebook, WhatsApp, Twitter, Instagram, autant d’outils pour faire gagner une cause en visibilité et appeler ceux qui la soutiennent à la mobilisation, de façon simple, rapide et surtout très efficiente.

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