Les avis divergent quant à la nécessité de genrer les robots. Néanmoins beaucoup de spécialistes semblent s’accorder pour dire que le robot n’est que le reflet de la société de son créateur. Sorte de miroir déformant révélateur comme le dit Julie Carpenter qui étudie les interactions humain-robot. “I think of it more as a funhouse mirror” (« Je le conçois comme les miroirs des fêtes foraines »). Dans un premier temps, il suffit d’observer le design de nombreux personnages robotiques de la science-fiction pour constater une recherche récurrente de familiarité. Le robot est souvent humanoïde. D’aucuns se défendront de dire que si les robots sont genrés, c’est d’abord parce qu’ils sont humanoïdes. Mais pourquoi sont-ils humanoïdes ? Est-ce cette peur ancestrale de la nouveauté et donc de l’inconnu qui pousse à créer des machines qui nous ressemblent ? Peut-être.

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