En Martinique, le numérique lutte contre le réchauffement climatique

Sur une île de 70 km de long et 30 km de large, entre Atlantique et mer des Caraïbes, la dépendance économique et énergétique est très forte. Notre journaliste raconte son quotidien entre embouteillages, besoin d’importation et menaces environnementales et détaille comment entrepreneur·ses et citoyen·nes tentent de rendre l’île plus verte.
Mauvaise élève, je roule au diesel. Ça commence mal pour un article sur le développement durable. Cette voiture était une bonne affaire, mais elle reste très polluante alors que le réchauffement climatique galopant a des conséquences directes et très visibles. Partout dans le monde, et singulièrement sur les îles, jusque sur mon île. Nous sommes 375 000 en Martinique. 250 000 véhicules circulent. On compte 15 000 nouvelles immatriculations tous les ans. Avec le manque de transports en commun, la voiture et les embouteillages sont rois. Les heures de pointe sur les grands axes s’allongent. Les épisodes de pollution de l’air se multiplient. Sans oublier la consommation de pétrole.
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